halles ( 1)

Exposition de marqueterie et bijoux

Is-sur-Tille 21120

Du /00/1e16 au //099

Exposition de marqueterie et bijoux par l'Atelier Fa-Sol, du 2 au 31 juillet, dans les halles de l'office de tourisme des vallées de la Tille et de l'Ignon, à Is-sur-Tille. Entrée libre. Conception sur place, du mardi au vendredi, de 10 h à 12 h et le samedi, de 09 h 30 à 12 h 30 et de 14 h à 18 h.

Les Jeudi'jonnais

Dijon 21000

Du /00/1e16 au //099

#NOTREétéàDIJON ! Rendez-vous aux Jeudi'jonnais ! Plus de 80 animations et concerts gratuits tous les jeudis de cet été. Animations musicales, live painting, guinguette, marché des créateurs... les places du centre-ville sont en fête dès cette semaine (jeudi 10 juin, de 19h à 22h) avec : - City Zen Kane - Variétés - Place de la Libération - June - Pop - Place du théâtre - Nat et Tof - Pop rock acoustique - Place François Rude - Gadjo Divio - Jazz manouche - Quartier des Halles - Swing Folie - Jazz manouche - Place Émile Zola Toute la programmation sur https://www.dijon.fr/Agenda/Les-Jeudi-jonnais

Spectacle sur grand écran : Daniel Guichard en concert

Concert

Pernes 62550

Du 00/00/-100 au 99/99/-199

Accompagné de douze musiciens, Daniel Guichard reprends sur scène ses plus grands titres : Mon vieux, La tendresse, Le gitan, Je viens pas te parler d’amour…, et nous fais découvrir ses nouveaux titres : Dans le coeur, A coups de poings, Mes silences, Combien de fois…. Son accent de titi Parisien et son franc-parler assortis d’une pointe d’humour le placent parmi les chanteurs les plus populaires de sa génération. Très jeune, Daniel Guichard ressent le besoin de chanter sa vie. Après avoir travaillé aux Halles, il décroche un emploi de disquaire chez Barclay, et se produit le soir dans les cabarets parisiens. Il donne de la voix de “parigot”, chez Patachou, à l’Alcazar ou encore au Bouchon où il interprète les chansons d’Aristide Bruand. En 1966, il rejoint la maison Barclay mais cette fois en qualité d’artiste. Six ans plus tard, il connaît ses premiers succès avec “La tendresse”. Daniel Guichard collabore alors, avec les plus grands, notamment avec Jean Ferrat et Michel Senlis qui lui écrivent “Mon vieux”, un hommage à son père qui meurt alors qu’il n’a que 15 ans. Christophe lui offre la musique d’un autre grand “classique”, “Faut pas pleurer comme ça”. Daniel Guichard[...]